Deux formes courtes autour du monde contemporain Monsieur et monsieur Monsieur A et Monsieur B sont réunis dans une même pièce. Elégants et très courtois, ils échangent les formules de politesse d’usage, font connaissance avec civilité. Mais l’horloge égrène les secondes : ils savent qu’ils n’ont pas droit à plus d’une demi-heure pour résoudre leur problème : un seul des deux pourra sortir vivant de cette pièce. Il faut que l’autre meure. Pourquoi ? Comment ? Peu importe. C’est la règle. Tant pis pour les bonnes manières, c’est à eux de se débrouiller. Puisque c’est la règle…   Maison, sucrée maison Un homme issu de la « classe moyenne » raconte son histoire aux gens assis devant lui. C’est un monologue, en quelque sorte. Mais un monologue prit en charge à deux. Parce que notre homme est un homme double. Parce que je est toujours un autre, quand on fait partie de la « classe moyenne », bref du troupeau. Alors donc, il rentre enfin chez lui, dans sa maison, sucrée maison, un soir, après une journée éreintante de métro-boulot, et trouve un double (un autre !) dans le fauteuil du salon… Texte : Eudes LabrusseMise en scène : Catherine BayleAvec : Olivier Chardin et Olivier Vermont.Co-Production : Théâtre de l’EscabeauIllustration : @elisa chicaud.

Spectacle original dans des voitures   La voiture est pour l’heure théâtre de poche ! Morceaux de vie, souvent loufoques ! Eh oui c’est un des rares embouteillages où l’on rit ! Des personnages hauts en couleur, des situations incongrues…. Vous n’êtes pas au bout de vos surprises… et qu’y a-t-il au bout de la route ? Le principe est simple. Des saynètes de 10 minutes environ sont présentées dans des voitures à 1, 2 ou 3 acteurs. Ce sont les spectateurs (2, 3 ou plus selon le véhicule) qui se déplacent de voiture en voiture pour découvrir les saynètes. Les acteurs, eux, rejouent leur scène chaque fois que de nouveaux spectateurs entrent dans leur véhicule. Les voitures sont disposées à la queue leu leu tel un embouteillage !

Deux formes courtes autour du monde contemporain Monsieur et monsieur Monsieur A et Monsieur B sont réunis dans une même pièce. Elégants et très courtois, ils échangent les formules de politesse d’usage, font connaissance avec civilité. Mais l’horloge égrène les secondes : ils savent qu’ils n’ont pas droit à plus d’une demi-heure pour résoudre leur problème : un seul des deux pourra sortir vivant de cette pièce. Il faut que l’autre meure. Pourquoi ? Comment ? Peu importe. C’est la règle. Tant pis pour les bonnes manières, c’est à eux de se débrouiller. Puisque c’est la règle…   Maison, sucrée maison Un homme issu de la « classe moyenne » raconte son histoire aux gens assis devant lui. C’est un monologue, en quelque sorte. Mais un monologue prit en charge à deux. Parce que notre homme est un homme double. Parce que je est toujours un autre, quand on fait partie de la « classe moyenne », bref du troupeau. Alors donc, il rentre enfin chez lui, dans sa maison, sucrée maison, un soir, après une journée éreintante de métro-boulot, et trouve un double (un autre !) dans le fauteuil du salon… Texte : Eudes LabrusseMise en scène : Catherine BayleAvec : Olivier Chardin et Olivier Vermont.Co-Production : Théâtre de l’EscabeauIllustration : @elisa chicaud. 

Deux formes courtes autour du monde contemporain Monsieur et monsieur Monsieur A et Monsieur B sont réunis dans une même pièce. Elégants et très courtois, ils échangent les formules de politesse d’usage, font connaissance avec civilité. Mais l’horloge égrène les secondes : ils savent qu’ils n’ont pas droit à plus d’une demi-heure pour résoudre leur problème : un seul des deux pourra sortir vivant de cette pièce. Il faut que l’autre meure. Pourquoi ? Comment ? Peu importe. C’est la règle. Tant pis pour les bonnes manières, c’est à eux de se débrouiller. Puisque c’est la règle…   Maison, sucrée maison Un homme issu de la « classe moyenne » raconte son histoire aux gens assis devant lui. C’est un monologue, en quelque sorte. Mais un monologue prit en charge à deux. Parce que notre homme est un homme double. Parce que je est toujours un autre, quand on fait partie de la « classe moyenne », bref du troupeau. Alors donc, il rentre enfin chez lui, dans sa maison, sucrée maison, un soir, après une journée éreintante de métro-boulot, et trouve un double (un autre !) dans le fauteuil du salon… Texte : Eudes LabrusseMise en scène : Catherine BayleAvec : Olivier Chardin et Olivier Vermont.Co-Production : Théâtre de l’EscabeauIllustration : @elisa chicaud. 

Spectacle original dans des voitures   La voiture est pour l’heure théâtre de poche ! Morceaux de vie, souvent loufoques ! Eh oui c’est un des rares embouteillages où l’on rit ! Des personnages hauts en couleur, des situations incongrues…. Vous n’êtes pas au bout de vos surprises… et qu’y a-t-il au bout de la route ? Le principe est simple. Des saynètes de 10 minutes environ sont présentées dans des voitures à 1, 2 ou 3 acteurs. Ce sont les spectateurs (2, 3 ou plus selon le véhicule) qui se déplacent de voiture en voiture pour découvrir les saynètes. Les acteurs, eux, rejouent leur scène chaque fois que de nouveaux spectateurs entrent dans leur véhicule. Les voitures sont disposées à la queue leu leu tel un embouteillage !

Quatre comédiens se transforment au gré du hasard et jouent les scènes sorties du chapeau Tour à tour, Sganarelle, M. Jourdain, Alceste, Dandin, Charlotte, Arsinoé, Toinette et d’autres encore, les comédiens s’habillent, se coiffent, se maquillent, dans leurs loges à la vue du public. Les scènes se succèdent, ponctuées d’intermèdes gestuels et musicaux. Une sorte de grand jeu plein d’humour et de rebondissements ! Parole d’une spectatrice: “J’ai assisté à votre spectacle vendredi soir au Tivoli et j’ai passé 2 heures savoureuses. Les comédiens sont pleins d’énergie, drôles. Quelle bonne idée le tirage au sort de scènes parfaitement choisies au préalable ! Certaines bien connues, d’autres beaucoup moins ou pas du tout. Un régal ! Assister aux changements de costumes et de coiffures, pendant un bref exposé de la suite du programme, permet au public de vivre intensément la représentation du début à la fin sans s’ennuyer une seconde. Bravo ! ”

Représentation scolaire   Ce spectacle est créé pour qu’on en ait du plaisir. Il est destiné à être regardé et écouté… Une femme extravagante, aux allures démesurées et à la voix envoûtante, entre sur scène… Dans ce qui pourrait faire penser à un salon, elle s’avance, entourée d’une collection de tableaux, de livres d’aventure et d’une harpe, et commence à nous raconter l’histoire de Rose. Rose is a rose is a rose is a rose is a … C’est alors que les premières notes de musique retentissent, et l’un des tableaux prend vie… C’est elle. C’est Rose.    

Ce spectacle est créé pour qu’on en ait du plaisir. Il est destiné à être regardé et écouté… Une femme extravagante, aux allures démesurées et à la voix envoûtante, entre sur scène… Dans ce qui pourrait faire penser à un salon, elle s’avance, entourée d’une collection de tableaux, de livres d’aventure et d’une harpe, et commence à nous raconter l’histoire de Rose. Rose is a rose is a rose is a rose is a … C’est alors que les premières notes de musique retentissent, et l’un des tableaux prend vie… C’est elle. C’est Rose.